Poems

from ‘La mort de Abderrahman’

Le soleil et la lune se meuvent d'après un calcul - Coran LV, 5

 
Après la pesée
Désarroi
Où         l’étoile l’arbre
 
Tôt          la visite
Présage
 
Ce jour-là
Ton cœur est léger
Réjouissances
Fête dans la maison
Ceux qui attendent au coin
Tueurs à gages
 
*
 
Bienfaits
sommes-nous à nier
une miséricorde
Deux jardins pleins de fleurs
deux autres ombragés
L’attente est longue
les sources ont tari
complainte
au réveil
quatre assassins
qui te saisissent